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  • Jean-Marie Bigard, le 11 septembre, la radio et la liberté d'expression.

    Tout le monde tombe sur le dos de Bigard, humoriste dont je ne goûte que peu l'humour, parce qu'il a osé émettre un avis différent de la vérité officielle sur les attentats du 11 septembre 2001. La radio sur laquelle il s'est exprimé a tenu à se désolidariser de ses propos et tout ce que le monde bien pensant compte de voix qu'on écoute pousse des cris d'orfraie.


    On jurerait qu'il a nié l'existence des chambres à gaz.


    Je ne sais pas ce qui est vrai dans ce qu'on nous a dit des attentats du 11 septembre et je doute que les choses soient aussi simples qu'on nous les a racontées. Mais là n'est pas le propos.
    Il semblerait soudain que mettre en doute la parole du gouvernement le moins légitime du pays le plus magouilleur relève du crime de révisionnisme. En quoi une telle opinion ne serait-elle pas défendable ou au moins exprimable?


    A qui fera-t-on vraiment croire, et ce n'est qu'un exemple, que les enquêteurs ont retrouvé intacts les passeports des terroristes dans les ruines des tours de Manhattan, alors que l'avion a été pulvérisé ainsi que tous ses occupants dans une boule de feu?
    Est-ce injurieux envers les victimes que d'imaginer que le gouvernement américain a pu au moins utiliser ces attentats à son profit, sinon pire?


    Oui, mettre en doute l'existence des chambres à gaz est une injure envers les victimes du nazisme, non, mettre en doute la version officielle donnée par le gouvernement Bush ne revient pas à insulter les morts de Manhattan.


    Jean-Marie Bigard a eu raison, non pas forcément de dire ce qu'il a dit, mais simplement de trouver le courage de forcer le mur de la pensée unique, d'oser montrer qu'on nous prend pour des imbéciles et que nombre d'entre nous sont prêts à se battre pour que ça continue.
     


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  • Les Nazis ne sont plus ce qu'ils étaient.

    La semaine dernière le Richard Chamberlain autrichien d'extrême droite s'explosait la panse alcoolisée à 140 à l'heure sur une route limitée à 70.

    Le lendemain, les journaux télévisés nous montraient son bras droit (celui qui est toujours dressé vers le ciel) en larmes à l'évocation de la cruelle perte qu'il venait de subir.

    Depuis quand voit-on pleurer les Nazis?

    Ordinairement quand un chef d'extrême-droite se tue en voiture, explose malencontreusement ou finit de se consumer sur le parking d'un bunker, tous les autres s'en félicitent, entrevoyant la possibilité de prendre sa place. Et ça se termine généralement dans un bain de sang entre "frères" d'armes.

    Et là, non! Le jeune aryen en question pleurait, comme un enfant, la mort de son mentor. C'en était même gênant. On en venait à se demander si d'autres relations n'avaient pas uni l'Hitler hollywoodien de Carinthie et celui qui n'allait pas tarder à devenir son successeur.

    Décidément, ma bonne dame, avec leur bombe atomique, ils ne font pas que nous dérégler le temps, ils nous changent même les Nazis!
     


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  • Chers amis,

    Vous m'avez suivi? Vous m'avez retrouvé !

    Je vais mettre en ligne sur ce blog les billets qui n'étaient pas apparus sur l'ancien. J'espère que les exploitants de ce site comprendront qu'il s'agit d'éditoriaux écrits en toute responsabilité par un titulaire de la carte de presse qui assume ses écrits.

    Dans quelques minutes deux textes censurés sur les blogs orange seront enfin en ligne...

    Merci de me lire, de laisser des commentaires et de populariser ce blog.

    Jean-François


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